Thème général : la recherche de solutions durables pour surmonter la crise actuelle des réfugiés.
Date: 15 au 18 septembre 2021
Lieu: Kinshasa, République démocratique du Congo.
Thème général : la recherche de solutions durables pour surmonter la crise actuelle des réfugiés.
Date: 15 au 18 septembre 2021
Lieu: Kinshasa, République démocratique du Congo.
Le « Conseil pour la Justice, l’Égalité et la Paix» (Cojep internatio-nal) créé en 1999 possède son siège à Strasbourg (France). Notre ONG a le statut consultatif auprès du Conseil économique et social (ECOSOC) des Nations Unies, de l’UNESCO (Comité de liaison des ONG), du Conseil de l’Europe (Conférence des ONG) et de l’OCDE, et est accréditée auprès du Parlement européen et de l’OSCE et FRA.
Nous sommes également présents avec nos agences et coordina-teurs en Asie, en Afrique, dans les Balkans, en Eurasie, au Moyen-Orient et aux États-Unis. Face aux besoins des citoyens, Cojep a évolué au fil de ses années dans des domaines tels que la migra-tion, le statut de migrant, la citoyenneté, la participation démocra-tique, l’éducation et le vivre ensemble. La lutte contre le racisme et la discrimination sont les priorités du mouvement Cojep au sein des institutions nationales et internationales.
Nous avons acquis de l’expérience au fil du temps. Aujourd’hui, Cojep œuvre pour des valeurs univer-selles. Nous avons démontré l’importance de notre rôle (celui de la société civile) dans le développe-ment, le renforcement de la paix, de la justice, des droits, des libertés et de la démocratie. Notre orga-nisation a fait ses preuves dans ces domaines en devenant une organisation accréditée et respectée par la communauté internationale.
Contribuer au progrès démocratique et au développement durable des pays en développement. Accroître leur intégration démocra-tique et économique avec le monde. Renforcer l’image démocra-tique des pays en voie développement et ouvrir la voie aux investis-sements économiques. Être un pont pour établir des contacts so-lides avec les organisations internationales. Fournir une expérience et un soutien à la formation des organisations non gouvernemen-tales des pays en voie de développement.
FORUM MONDIAL DE LA SOLIDARITÉ CIVILE
Message du président – Ali Gedikoğlu.
« Nous prônons la mobilisation de la société civile pour la démocratie, le développement durable et la prospérité économique en Afrique, en Asie et en Eurasie, à travers les forums mondiaux de solidarité civile »
La société civile occupe une place importante dans le dialogue sur le développement car elle offre des opportunités de rassembler les communautés pour une action collective, en mobilisant la société pour exprimer ses revendications et exprimer ses préoccupations aux niveaux local, national, régional et international. Habituelle-ment, le gouvernement d’un pays prend en charge les éléments de base, tels que la défense, l’éducation et les soins de santé. Mais il ne fournit pas aux citoyens un moyen de s’organiser pour faire ce qui est important pour eux ou pour exprimer leurs opinions.
C’est là qu’intervient la société civile. Ce sont les groupes que les gens forment pour défendre ce en quoi ils croient et pour résoudre les problèmes dans leurs communautés. Les sociétés qui ne per-mettent pas aux concitoyens de se connecter les uns aux autres pour résoudre des problèmes sont moins efficaces et moins démo-cratiques que celles qui le font. De même, il ne suffit pas de sim-plement créer ou renforcer des organisations de la société civile. Nous devons nous assurer qu’ils ont un environnement dans lequel ils peuvent prospérer.
Le premier Forum mondial de la solidarité civile en Afrique organisé par le COJEP – Le Conseil pour la justice, l’égalité et la paix est un appel à la société civile internationale et à la solidarité mondiale. Cet appel est une manifestation de vivre-ensemble sans discrimina-tion pour les peuples et les nations.
Le premier Forum mondial de la solidarité civile en Afrique réunira des représentants officiels des États, des scientifiques, des politi-ciens, des diplomates, des OINGs, des médias et des artistes natio-naux.
Nous pensons que le premier Forum mondial de la solidarité civile en Afrique, promouvra les idées de justice, d’égalité, de démocratie pour la prospérité économique et la paix dans le monde, prouvera que la discrimination raciale, religieuse et nationale entre les peuples est inacceptable, créera des opportunités pour des partena-riats et progrès entre les peuples et les nations.
C’est aussi une occasion inédite afin de présenter la diversité cultu-relle de l’Afrique!
Kinshasa, République démocratique du Congo.
Date: 15 au 18 septembre 2021
Capacité: 150
Thèmes: la recherche de solutions durables pour surmonter la crise actuelle des réfugiés.
Conférence de presse et DÎNER DE BIENVENUE
Accueil des participants + Installation de stands par les OINGs par-ticipantes pour le salon des OINGs
OUVERTURE DU PREMIER FORUM MONDIAL DE LA SOLIDA-RITÉ CIVILE – AFRIQUE
10h00 – 11h00
Inscription
11h00 – 13h00
Ouverture du premier Forum mondial de la solidarité civile – Afrique
11h00 – 11h30
Discours de Cojep International
Discours et salutations des représentants officiels des États.
11h30 – 12h15
CONFÉRENCE D’OUVERTURE GÉNÉRALE de COJEP INTER-NATIONAL:
Pour un monde plus juste : l’importance des initiatives civiles et du forum de la solidarité civile.
La société civile est un élément essentiel du développement : une croissance durable et un cadre de développement international – lut-ter contre la pauvreté et les inégalités, élaborer des politiques et des programmes avec une approche fondée sur les droits de l’homme – ne peuvent être atteints sans l’engagement des citoyens. D’après notre expérience, le développement a besoin d’individus et de communautés actifs et engagés.
Faciliter la citoyenneté et la participation actives est une étape cru-ciale vers la création d’un système démocratique fonctionnel, qui est en soi un élément essentiel d’un développement durable. La so-ciété civile peut aider à cet égard, en permettant un débat large et démocratique et en soutenant la capacité et le droit des peuples de choisir et d’influencer leur développement.
12h15 – 13h00
PRÉSENTATION DE LA CULTURE DE L’AFRIQUE
Ouverture officielle et visite de l’exposition
EXPOSITION / STANDS des OINGs:
(25 mai, 10h00 – 26 mai, 18h00)
Une exposition d’OINGs des pays africains sera organisée sur leurs actions.
UNE PARTIE ARTISTIQUE SERA ANIMEE LORS DE L’OUVER-TURE OFFICIELLE DE L’EXPOSITION.
La partie artistique se composera de musiques nationales et de chants folkloriques des pays africains.
13h00 – 14h00
PAUSE DÉJEUNER
14h00 – 18h00
SESSION DES CONFÉRENCES SUR LA SOLIDARITÉ DES PEUPLES AFRICAINS :
PANEL I
Le rôle de la solidarité civile africaine sur la prévention de la crise migratoire et sur les modèles de développement durable.
Comment les Nations Unies, les organisations internationales, les gouvernements, les entreprises et un large éventail d’organisations de la société civile et de syndicats régionaux et mondiaux perçoi-vent-ils les causes profondes des migrations, des inégalités mon-diales et les options de développement durable ?
C’est l’une des questions politiques les plus pertinentes du 21e siècle. Nous examinerons le développement d’une nouvelle gou-vernance mondiale sur la migration en mettant l’accent sur les rôles, les stratégies et la formation d’alliances d’une société civile transna-tionale composite engagée dans les questions de droits et de pro-tection des migrants et de leurs familles.
PANEL II
Pour un monde plus juste : de nouveaux modèles pour éliminer le racisme et la discrimination dus aux migrations.
La Déclaration de Durban (adoptée par consensus à la Conférence mondiale contre le racisme (WCAR) de 2001 à Durban (Afrique du Sud), la DDPA est un document complet et orienté vers l’action qui propose des mesures concrètes pour lutter contre le racisme, la dis-crimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée. Il est holistique dans sa vision, aborde un large éventail de ques-tions et contient des recommandations de grande portée et des me-sures pratiques. Le document souligne que la xénophobie à l’égard des non-ressortissants, et en particulier des migrants, constitue l’une des principales sources du racisme contemporain. Les mi-grants sont souvent victimes de discrimination en matière de loge-ment, d’éducation, de santé, de travail ou de sécurité sociale.
C’est un problème mondial qui affecte les pays d’origine, les pays de transit et les pays d’arrivée.
Selon la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies, environ 200 millions de personnes vivent en dehors de leur pays d’origine, ce qui repré-sentera 3,1% de la population mondiale en 2010. Les estimations montrent qu’entre 1945 et 1990, le nombre de migrants ont aug-menté d’environ 45 millions de personnes par an. Les migrants arri-vant irrégulièrement dans un nouveau pays et les victimes de la traite arrêtées par la police sont souvent détenus dans des centres administratifs ou dans des prisons.
Selon les estimations publiées par la Division de la population Dé-partement des affaires économiques et sociales des Nations Unies, Le nombre de migrants internationaux dans le monde a atteint 272 millions en 2019, soit une augmentation de 51 millions par rapport à 2010.
En 2019, à l’échelle régionale, l’Europe accueille le plus grand nombre de migrants internationaux (82 millions), suivie de l’Amé-rique du Nord (59 millions), de l’Afrique du Nord et de l’Asie occi-dentale (49 millions).
Or, avec l’arrivée de la pandémie de Covid-19, selon les Nations Unies, la hausse de migrants internationaux a ralenti de 27%. Car la maladie a perturbé toutes les formes de mobilité humaine en fer-mant les frontières nationales et en arrêtant les voyages dans le monde entier. Actuellement, les migrants internationaux représen-tent environ 3,6% de la population mondiale.
Bien que la privation de liberté doive être un dernier recours en ver-tu du droit international des droits de l’homme, les migrants sont souvent détenus dans le cadre d’une procédure de routine et sans garanties judiciaires appropriées. Les centres de détention pour mi-grants surpeuplés ont souvent un accès limité aux soins de santé, une alimentation, un assainissement ou une eau potable insuffi-sants et un manque d’installations sanitaires séparées pour les hommes et les femmes. De même, il existe une tendance crois-sante à criminaliser les infractions liées à la migration, ce qui, dans certains cas, a abouti à des violations des droits des migrants. Au-jourd’hui, l’un des principaux obstacles à l’intégration des migrants et à l’égalité d’accès aux droits de l’homme dans les sociétés d’ac-cueil sont des pratiques discriminatoires.
16h00 – 16h15
PAUSE CAFÉ / THÉ
PANEL III
Guerres régionales, migrants, réfugiés, déplacements internes : le rôle des organisations internationales et du droit humanitaire dans le développement durable des régions africaines.
L’Afrique subsaharienne a connu une forte croissance au cours de la dernière décennie et a réussi à augmenter les niveaux de déve-loppement humain, mais ses taux de pauvreté sont restés obstiné-ment élevés. Avec sa diversification économique limitée, ses inéga-lités persistantes, son taux de chômage élevé et la dégradation de l’environnement, le continent doit encore s’engager sur la voie du développement durable qui peut profiter à toutes les femmes et à tous les hommes au fil du temps.
En septembre 2015, les États membres de l’ONU ont adopté le programme de développement durable, intitulé Agenda 2030. Ce programme porte une vision de transformation de notre monde en éradiquant la pauvreté et en assurant sa transition vers un dévelop-pement durable. Les 17 Objectifs de développement durable doi-vent être atteints non seulement par les pays industrialisés mais aussi par les pays en développement.
Cojep international, étant membre du système ECOSOC des Na-tions Unies, souhaite devenir un vecteur d’interaction entre les Na-tions Unies et l’Afrique.
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030 est fon-dé sur l’engagement de «ne laisser personne de côté». La réalisa-tion de ces ambitions nécessitera des politiques visionnaires pour un développement inclusif. Si tout le monde veut profiter des gains économiques, les décideurs devront reformuler leurs stratégies et programmes pour faire en sorte que ceux qui en ont le plus besoin bénéficient équitablement du développement économique et social actuel et futur.
Entre 1990 et 2014, le PIB par habitant de la région a plus que dou-blé. Cette dynamique a été soutenue en exploitant les opportunités de la mondialisation tout en investissant dans le capital humain et physique. La croissance économique rapide a à son tour créé des opportunités d’emploi et aidé à sortir des millions de personnes de la pauvreté. Néanmoins, en 2013, environ 400 millions de per-sonnes vivaient encore dans l’extrême pauvreté, et beaucoup d’autres se trouvent dans des situations de vulnérabilité.
Une croissance durable et un cadre de développement international – lutter contre la pauvreté et les inégalités, élaborer des politiques et des programmes fondés sur les droits de l’homme – ne peuvent être atteints sans l’engagement de la population. Les organisations de la société civile (OSC) sont un maillon clé de la chaîne de responsabi-lité.
PANEL IV
Nouveaux modèles sociaux créés par les migrations et l’avenir du multiculturalisme;
Des idées sur l’accommodement juridique et politique de la diversi-té ethnique – communément appelée « multiculturalisme » – sont apparues en Occident comme un moyen de remplacer les an-ciennes formes de hiérarchie ethnique et raciale par de nouvelles relations de citoyenneté démocratique. Malgré des preuves subs-tantielles que ces politiques progressent vers cet objectif, un chœur de dirigeants politiques les a déclarées comme un échec et a an-noncé la mort du multiculturalisme.
Ce récit populaire est problématique car il déforme la nature des expériences de multiculturalisme qui ont été entreprises, exagère la mesure dans laquelle elles ont été abandonnées et identifie mal non seulement les difficultés et les limites réelles qu’elles ont ren-contrées, mais les options pour résoudre ces problèmes…
Discours final / conclusion et photo de famille.
20h000
Dîner de gala
Cérémonie de remise des prix de la solidarité civile.
COJEP INTERNATIONAL décerne chaque année les PRIX COJEP pour plus de démocratie, plus de liberté, plus d’égalité, dans diffé-rents domaines aux politiciens, universitaires, journalistes, écri-vains, athlètes, artistes et organisations qui travaillent pour la paix mondiale et les droits de l’homme.
La Cérémonie de la Remise des Prix de COJEP est un événement annuel majeur. Notre objectif est de récompenser des personnalités importantes dans la lutte pour la justice et la liberté. Depuis 2007, des personnalités issues du monde politique, artistique, sportif, in-tellectuel ou en provenance de la société civile ont reçu ce prix. En 2009, le Prix Spécial a été remis à Mme Micheline Calmy-Rey, Mi-nistre des Affaires Étrangères de la Suisse. Mais aussi, Joseph Daul, Jorgo Chatzimarkakis, le Ministre Philippe Richert, l’ancien Président de l’APCE Mevlüt Cavusoglu, Députée européenne Emine Bozkurt, Kamel Meziti, Abdal Malik, Lilian Thuram, Cyril Rit-chie, Jean-Marie Heydt, Mevlut Erdinç, Mireille Fanon Mendès France, Doudou Diène, Gabriella Battaini (Adjointe au Secrétaire Général du Conseil de l’Europe), l’Ambassadeur Ömür Orhun, Bas-hy Quraishy, Mouloud Aounit ou Rokhaya Diallo ont fait partie des primés pour leur courage et leur exemplarité.
Ainsi durant le Forum de la solidarité civile en Afrique Cojep a l’ambition de remettre cette année les « prix de la solidarité civile » aux personnalités importantes et emblématiques afin d’encourager l’initiative civile pour la paix, la justice et le développement.
9h00 – 13h00
LA JOURNÉE DU SALON DES OINGs: Les OINGs ou organisa-tions participantes seront à proximité de leurs stands pour pré-senter leurs actions. Un environnement d’interaction et d’op-portunités sera disponible pendant le salon.
13h00 – 14h00
PAUSE DÉJEUNER
15h00 – 19h00
EXCURSION :
Tour de Kinshasa
Visite de la ville des zones historiques et touristiques autour de Kinshasa.
Clôture du Forum
“J’ai eu l’occasion de participer avec le COJEP à la question des réformes du conseil de sécurité et d’apprendre le grand travail et les activités que ce staff accomplit sur plusieurs thèmes.
Larayedh Aliex-President of the Tunisian government
Je salue vivement leurs efforts sur ces causes justes et je l’ai remercie de m’avoir invité à participer avec eux.
Bon courage et bonne continuation.
“Les conditions de mise en œuvre de l’action coercitive du conseil de sécurité ne correspondent plus à la nouvelle configuration du monde. C’est donc à juste titre que le COJEP milite pour la réforme du sécurité et l’ONU.
José DONASCIMENTOPrésident de l’ARPEMA
“En ce 18 décembre à Genève, unis par la volonté de promouvoir la paix dans le monde, contribuer aux développements sociaux économiques des peuples à travers le monde, demandons une réforme du conseil de sécurité des Nations unies !
Auguste ESSEMA
“Ce jour, 18 décembre 2019, la ligue Panafricaine - UMOJA, par ma voix, soutient les réformes structurelles du système des Nations Unis afin qu’il y ait la Paix dans le Monde.
Henda Diogéne SENNY
“Nous voyons récemment au Pakistan spécialement au Cachemire, que les gens n’ont pas de nourriture, pas d’eau. Fondamentalement, ils vivent dans une guerre. Nous devons donc prendre des initiatives pour résoudre les problèmes.
Mahomet Faisal MirDu Cachemire, Pakistan
“QUE TOUS LES PEUPLES DU MONDE aient l’abondance, la prospérité et des ressources illimitées pour les aider à vivre à leur plein potentiel.
Michele DelisfortMaire Union New-Jersey
“Quand le rêve est rêvé seul, c’est juste un rêve, Mais quand il devient un rêve de tous, il devient une réalité. HWPL parviendra à la cessation de la guerre et de la paix mondiale !
Aurore CELESTINHWPL
“DES GENS DÉVOUÉS QUI SE RÉUNISSENT POUR LE MEILLEUR DE TOUTE L’HUMANITÉ, IL N’YEXISTE PAS UNE MISSION PLUS IMPORTANTE. MERCI À TOUS.
DIACRE Yves Lesein CanadaCAPITAINE
“Le monde a toujours besoin de paix et de justice pour vivre dans l’harmonie.
Ralph KaderLe Chef des Nations Unies de l’opération de maintien de la paix
“Souhaitant la paix et la justice dans le monde - Le meilleur choix dans cette mission est la plus importante.
Governor Daniel MckeeEtat du Rhone Island
“Today is December 18,2019, as we are in Geneva, as a world peace ambassador and representative of cope to United Nations, I urge the United Nations to promote Peace, to end poverty, hunger, ensuring good health, promote gender equality, access to water and sanitation, reduce inequality for a sustainable development in the World!
Hugues SanonH.E. Ambassador
“Les dirigeants devraient cesser de monopoliser un segment des sociétés et de dynamiter tous les segments de la société, et ainsi éviter la marginalisation.
Philip RamosMembre de l'Assemblée du 6e district de l'Assemblée de New York.
COJEP INTERNATIONAL
cojep.relations.int@gmail.com
18 Rue du Chemin de Fer, 67200 Strasbourg / FRANCE
www.cojep.com
Tashrif Chowdhury
+880 1709 – 641650
tashrifc@yahoo.com
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